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 Ikisho Kaerû [100%]

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Ikisho KaerûThe Unknown
Ikisho Kaerû
Messages : 33
Date d'inscription : 09/01/2016
Rang : B


Caractéristiques du Mage
Magie/Malédiction: Gravity Magic
Magie Secondaire:
Progression:
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The Unknown

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MessageSujet: Ikisho Kaerû [100%] Ikisho Kaerû [100%] EmptyJeu 25 Fév - 19:55







Ikisho Kaerû




Nom : Kaerû

Prénom : Ikisho

Âge : 26 ans

Sexe : UN HOMME, UN VRAI.

Guilde (et poste souhaité) : Destiny Flare, l'élite, ou pas d'ailleurs, c'est vous les juges o/

Surnom : The Unknow [Déverrouillé au rang B]


Behind the screen

Un pseudo : Minison, ou le branleur assumé, au choix :nomad:

Un âge : 20 piges

Comment tu nous as connu ? Ewilaneuh

Le code du réglement ? [Siralidé]

Des commentaires ? :nomad: :nomad: :nomad: :nomad: :nomad:

L'avatar que tu utilises ? Oshino Meme des Monogatari Series :nomad:




Magie(s) ou Malédiction


Nom de la magie/Malédiction : Gravity Magic  
Une magie efficace et peu polyvalente d'un aspect extérieur. Permettant principalement de neutraliser les ennemis de manière brutale et rapide, il est clair que défensivement, la gravity magic reste très limitée lorsque l'adversaire est bien plus fort que notre jeune blondin.

Manipuler la gravité dans un certain périmètre, l'augmenter, la diminuer, l'utiliser comme "pression" pour envoyer ses adversaires dans tous les sens ou encore créer une surface de gravitation n'importe où dans l'espace permettant de stopper, bloquer ou encore ralentir ses adversaires, c'est l'atout du mage.
À haut niveau de maîtrise, il est même possible de créer des trous noirs, dont l'utilisation permet d'engloutir tout ce qui se trouve autour du puits en fonction de la puissance de l'utilisateur.

Pouvant tout aussi bien manipuler la gravité pour son propre intérêt, Iki' peut marcher à l'horizontale sur un mur où à la verticale sur un plafond.

Offensivement destructrice, la magie peut-être cependant facilement contrée lorsque le principe est compris. En fonction de la puissance de l'utilisateur, se relever d'une pression gravitationnelle peut-être une action impossible comme largement faisable.

Physique


Bon, mes cheveux, ça reste de l'abstrait. Avec ma touffe blonde qui tend a défier les lois de la gravité, impossible de les coiffer de manière propre, et pour enlever les noeuds de tout ce bordel, des fouilles archéologiques sont presque obligatoires. On va plutôt laisser cette vilaine corvée au vent, ça suffira amplement. Le reste de la pilosité faciale, c'est du gâchis. Des sourcils jaunes qui me trahiront certainement lorsque je me ferai draguer, parce que des croissants de soleils velus sur la tronche, ce n'est pas glamour. Et encore, le pire reste à venir, car le destin a décidé de me donner le quart du quart d'une vraie barbe, un bouc. Et un bouc jaune s'il vous plaît, histoire d'illuminer mes sombres soirées solitaires.

Des lunettes de soleil ? Nan, pas obligatoire, faut laisser le peuple apprécier ces yeux ravageurs au détriment de ces sourcils destructeurs. Un jaune flamboyant, un regard transmettant tout le désir d'un homme, des yeux dont la profondeur n'a d'égal que mon lever de coude. Un regard presque poétique, mais non sans saveur. Plutôt le gars énervé, le gars désireux, ou le beau mystérieux ? Je resterais bien sur le classique regard du dragueur facile, simple et efficace. En plus, ça fait fuir les femmes, un souci en moins. Aucun trait particulier, une rondeur ordinaire, une taille plutôt discrète, mais un impact suffisant, des yeux qui ne laissent pas indifférent. Je me trouve bien modeste ce soir. En même temps, c'est bien la seule chose dont je suis fier.

Mais un regard ne vaut rien sans un faciès d'ange, sans imperfection, sans ride, bref, un visage de bébé. De ce côté-là, j'ai pas à me plaindre. Des joues sans boutons, des rides inexistantes au front, et des cernes relativement discrets aux yeux. Aucune cicatrice au niveau de mon visage d'ailleurs, plutôt chanceux. Parlons des lèvres, les miennes sont fines, beaucoup trop fines. C'est un défaut que je n'apprécie pas, mais elles se marient bien avec mon nez, sensiblement aussi fin que le reste et plutôt discret, le duo reste convenable pour que je reste relativement tout public.

La touche finale, c'est la boucle d'oreille à ma droite. Vous savez, c'est l'objet ultime qui vous rend mystérieux et sombre. Bon, pour la forme du dit objet, c'est une croix. Juste une croix, dont je n'ai jamais compris la réelle signification. Comme mes sourcils d'ailleurs.

Bref, il est temps de descendre plus bas mes amis. Et oui, pas de t-shirt. C'est secondaire ça, il vaut mieux laisser ce corps de mâle absolu à la vue de tous, des années d'entraînements pour obtenir ces 73 kg de muscle. Pas plus, pas moins. Bon ok, je ne me suis pas foulé, mais les formes sont visibles, pour certaines. Des abdominaux plutôt travaillés, des pectoraux au bord du déclin, ça a son charme, je vous le dis. Après, n'étant pas non plus le plus gros porc de l'histoire, une chemise est quand même appréciée pour couvrir ce corps de pseudo-Apollon.
Et pas n'importe quelle chemise, du jaune, mais découlant d'une teinte bien plus orangée, quelque chose de chatoyant, mais brisant l'uniformité de mes couleurs, et des fleurs. Oui, des fleurs, et de différentes sortes. Ne me contentant pas d'une unique chemise à porter jusqu'à la fin de mes jours, les motifs diffèrent et décorent mon style vestimentaire. Tantôt mélancolique, tantôt heureux, toujours fleuri.

Maintenant, la température monte, la poésie continue, et la ceinture est bouclée. Tenant grâce a cette ceinture, le bermuda du classique dragueur venant des mers lointaines, histoire d'être cohérent dans le tout. Gris foncé tendant vers le noir, laissant le bas de mes jambes visibles. Des jambes non-poilues, précision douloureuse, me rappelant que ma pilosité corporelle est médiocre et irrespectueuse envers moi. Oh, j'allais l'oublier, mon tatouage de guilde. Plutôt discret, il se tient fièrement sur ma cuisse gauche dans son rouge habituel. Rien de bien intéressant à ce niveau-là.

Pour finir, les pieds sont scellés d'une paire de geta, cousine des scandales et tongs, mais dont le coup au bide se ferait moins discret et plus douloureux. Une base solide me faisant gagner 2-3 centimètres sur mes 1m80.

Extérieurement, je pue sévèrement l'alcool. C'est vrai que bon, à rester côtoyer des bars quand les missions ne viennent pas, on finit par s'imprégner de l'odeur sans réellement s'en rendre compte. D'une démarche généralement aléatoire, je titube souvent dans les rues de la ville sans savoir où aller, étant généralement saoul dans ces moments. Et quand je dois faire bonne impression, les pas vont et viennent, le dos est relativement droit, les mains se réchauffent dans les poches et l'attitude du "beau gosse raté" intervient pour me donner l'aspect d'un parfait connard.

"Faut vraiment que j'arrête de me faire des monologues".


Psychologie


Un alcoolo. C'est un bon début pour définir un fainéant comme lui. Rarement en dehors des bars de la ville, il préfère tester les boissons les plus prestigieuses possible.

Ikishô est calme, plutôt distant et rarement émotif. La seule chose qu'il affiche sur son visage, c'est ce sourire relativement forcé et peu convaincant. Partant du principe que peu de gens sont intéressants pour lui, ce sourire lui permet d'acquiescer indirectement sur les sujets que l'on peut aborder avec lui. Et le principal, c'est la boisson.
Il boit, énormément. Mais, plus qu'un vaste loisir, c'est devenu un mode de vie. Une façon de penser étrange qu'il s'efforce de faire vivre à travers ses levées de coude. Le blondin pense que les changements qui se sont effectués dans sa vie furent trop brusques, trop rapides. Pourtant, il a cette impression d'avoir évolué, de passer du têtu au penseur, et ce, pour une raison qui lui reste inconnue. Une impression plus que de la réflexion pure. Et pour compenser, il boit. Lui rappelant les bribes croustillantes de sa vie, la boisson est devenue sa copine idéale pour retomber en nostalgie et oublier les soucis du quotidien pour se rappeler ceux du passé.

La nostalgie, c'est quelque chose qu'Iki' côtoie chaque jour. Particulièrement lors ce sombre événement, reflétant toute l'impartialité dont il a fait preuve pour détruire ce qu'il aimait à l'époque, juste pour survivre. Tuer la seule chose qui comptait pour lui, c'est une douleur qui lui sert de leçon. Une "note"
à lui-même, lui rappelant que la confiance est une notion vague de sens dans ce monde, et qui n'en a plus aucun pour lui.

En dehors de cette façon d'être, il faut se dire qu'au final, c'est un penseur. Un homme qui se pose énormément de questions sur tout et n'importe quoi. Ne se ventant pour de pouvoir y apporter toutes les réponses, il peut au moins se glorifier d'essayer d'y réfléchir pendant de longues heures. Vous me direz,il n'a que ça a faire.
Il a aussi une sorte de manière de jouer avec les mots. S'amuser à parler avec des inconnus qui l'aborderaient, c'est le moment prestigieux de la journée. Celui où il peut tout balancer, phrases complexes, mots incompréhensibles dont lui-même n'a aucune idée de la signification, manière de parler... Tout est bon pour impressionner ou dégoûter un mage ou citoyen un peu trop curieux.

Il fera rarement le premier pas pour vous connaitre. Vous pourriez être l'incarnation divine du mage le plus majestueux qui soit, vous ne l'intéresserez pas. La seule chose qui pourrait attiser sa curiosité, c'est l'ennemi. Bien plus qu'un simple Némésis à ses yeux, l'ennemi est un mot large qui tend à être défini par ses propres mots. Même lui ne sait pas ce qu'est le véritable ennemi à ses yeux. Les démons, les mages fanatiques dont l'idéologie les drogue, lui-même ou Destiny Flare ?

Destiny Flare, en voilà un rapport cocasse. En retrait par rapport à la guilde, Iki' est aussi observateur a ses heures perdues. Il se méfie, mais ne crée aucun préjugé susceptible de lui faire perdre le seul job potable qu'il a à ce jour : mage. Une vision mitigée de la guilde, additionnée à la nostalgie difficile de certains passages créés en lui un sentiment de frustration, mais aussi d'ambition. Il est ambitieux, et la laisse entendre lorsque c'est nécessaire. Il veut changer les choses dans cette guilde. Devenir plus qu'un simple mage, qu'une simple élite. Devenir maître ? Pourquoi pas, cette idée n'est pas mise de côté, mais sa paresse laisserait entendre qu'entre ses mains, Destiny Flare risque plus de tomber au fond du gouffre plutôt que de se propulser vers les cieux.
Du coup, maître, ce n'est pas trop son délire, mais si c'est une obligation, ainsi soit-il.

En dehors de sa guilde, Iki' ne s'intéresse pratiquement pas à la vie des autres. Trouvant ça fatiguant et ennuyant de schématiser l'ensemble des guildes dans une bulle "gentil mais pas trop" et "méchant mais pas trop", il préfère catégoriser les membres plutôt que la fondation.

Il est aussi craintif de lui-même. Peu confiant socialement parlant, il préfère donner cette image d'alcoolo dérisoire plutôt que de s'ouvrir au monde. Ses questions, les gens n'ont pas besoin d'en connaître les différences significations. Sa façon de penser, elle ne sera jamais celle d'un autre, alors inutile de tergiverser des heures dessus. Et son vécu, il est personnel. Enfin, ce n'est pas exactement ça. Il est trop rapide. C'est une sorte de pseudo-honte pour lui, d'être aussi pensif d'un passé si fade à ses yeux.
De peur que les gens se posent trop de questions, ce dernier à donc décider de créer cette sphère autour de lui, craintif et craint.

On le remarque assez vite, ce n'est pas un gars difficile. Relativement simple dans sa manière de vivre, il évite tout conflit inutile et préfère l'inflexible puissance des mots plutôt que la violence des poings. La diplomatie est son second allié, après l'alcool. Il n'y a qu'une exception qui transcrit la règle : les démons. Les démons, c'est un cas particulier pour Iki'. Ils ont été présents tout le long de son enfance, a toujours hanter les pensées des plus fragiles citoyens de Fiore, et du monde entier, d'ailleurs. Ils sont la raison principale pour laquelle Iki' déteste la mentalité du peuple, ou plutôt, s'y désintéresse. Il va sans dire que lorsque l'un d'eux se présente à lui, l'envie de lui casser sévèrement les quelques dents qu'il pourrait avoir est une idée qu'il prend très vite en compte.
Et de manière générale, les démons sont très mal vus de nos jours. Rendre service à la population, c'est toujours quelque chose de gratifiant. Et la gratitude, ce n'est pas quelque chose sur laquelle le mage crache.

Le sourire ! Cette manière d'être désintéressé, cette démarche, ce charisme presque inexistant aux premiers abords ! De l'art. Une image que soigne notre ami depuis bien des années maintenant, préférant la solitude à un compagnon lourd de questions. C'est a peu près l'image qu'on s'en fait tous maintenant. Mais avec ceux qu'il apprécie, comment ça se passe ?
Eh bien, il sourit. Heureux de pouvoir se battre dans les meilleurs concours de beuveries du coin, ses très rares amis ont la chance de pouvoir connaître l'honnête mage derrière le masque de froideur qu'il adore porter.
L'humour, c'est sûrement sa principale qualité qu'ils vont diront. Et son principal défaut. Rarement aimé pour ce talent, ses proches le préfère dans son calme et son sérieux. Oui, Ikisho Kaerû tente d'avoir une opinion intéressante sur les sujets qu'ils pensent maîtriser avec un peu de souplesse et de langage.

Et le sujet qu'il aborde le plus, c'est bien la justice. Tellement simple et complexe, nuancé dans toutes ses coutures. Un mot qui a détruit, sauvé, changé des vies. Une idéologie contestée, adorée, ou détestée pour lui. Il n'aime pas la notion du mot justice. On a tous notre propre manière de la faire, de l'élever au-dessus des autres. D'en faire la justice "ultime". Pourtant, Iki' part du principe que c'est impossible d'avoir une justice universelle, celle qui combat les démons et sauvent les orphelins. Ce n'est pas aussi simple. Pas pour lui en tout cas.

Il adore les ragots, et dans les auberges, ce n'est pas ce qui manque. Les guildes, les puissances de Fiore, tout laisse à penser que cette société est bien plus complexe que ça. Enquêteur dans l'âme, il se veut assez curieux pour y mener sa propre affaire, un jour.
En dehors de ça, sa seule réelle motivation est de devenir influant. Non pas pour que ses réflexions se fassent entendre sur la majorité du continent, mais par simple curiosité. C'est au final la seule chose qui le motive à prendre des risques : être curieux. Il veut savoir pourquoi tel ou tel personne pense comme ça, pourquoi certains chemins sont empruntés, pourquoi certains actes sont effectués. Il veut comprendre la personnalité de chaque individu qu'il considère comme intéressant.

Un code d'honneur ? Pas vraiment. Chaque personne est différente à ses yeux, et mérite un traitement tout aussi unique. La loyauté, l'injustice, la tromperie, tout ça ne sont que des mots pour lui. Confiant sur ce point-là, il sait s'entourer des bonnes personnes sans risquer de se retrouver trahi un jour. Un homme prévoyant dans ses actes, mais maladroit dans les faits.

La seule chose dont on ne parle pas souvent, c'est ses peurs, ses craintes.
Il n'a qu'une crainte : retomber amoureux. Aussi stupide que cela puisse paraître, l'idée même de se retrouver avec une droguée de la justice fait trembler son âme. Ceci explique donc son incorrigible manière de parler aux femmes : froide et franche.
Les démons, eux, ce n'est pas réellement une peur. Comme tout le monde, affronter un adversaire plus fort que lui prête à frissonner d'excitation, mais pas de frayeur.
La guilde ? Pourquoi pas, ça peut en devenir une si l'influence qu'elle a sur Iki' s'avère mauvaise. En attendant, il n'est pas trop inquiet, et se veut assez confiant pour éviter de se faire endoctriner. De plus, il se sent bien là-bas, avec tous les bourrins qui lui ressemblent.
Le peuple ? Impossible, la sphère qu'il s'est créée est une bonne protection pour éviter les mauvaises herbes.
Ses monologues ? C'est un autre souci ça. Il a toujours eu tendance a penser tout haut, se retrouvant souvent dans des situations cocasses où le monde autour de lui ne se posait qu'une question : "il est fou ?". Craintif de cette manie, il se dit qu'un jour, il pourrait bien révéler une information capitale à voix haute.

Au final, il est indifférent avec les inconnus, et légèrement ouvert avec ses proches. Un homme méfiant qui ne parle pas trop de lui, mais adore parler des autres à leur place. Pour lui, tout est une question de réflexion et de façon de penser, et les généralités, ce n'est pas trop son truc. Chaque individu est unique à son sens, aussi inintéressant soit-il. Et lorsqu'il tombe sur une perle rare, l'interrogatoire est de sortie.
En soit, un alcoolo veuf pensif et pseudo-philosophique.


Histoire


"On se tire !"

"Où ça ?!"

"Loin de tout ce bordel !"


Je ne suis sûrement pas le genre d'homme à me remémorer de vieux souvenirs douloureux. Malheureusement, les blessures ne guérissent jamais vraiment. 

Je n'ai pratiquement aucun souvenir de ma vie avant Fiore. C'est comme si mes quelques années passées dans mon ancien chez moi n'étaient rien de plus qu'un prétexte pour en faire des cauchemars. Je suis né à Minstrel, mais du peu que je m'en souvienne, l'endroit n'était pas exceptionnel. Il était et est cauchemardesque. Les démons ont attaqué l'endroit, drapant ce dernier d'une nuit sans fin. Ce n'est pas comme si j'y avais vécu des choses traumatisantes. Mes parents ont décidé de quitter le bercail avant que tout ça ne se produise. Et quoi de mieux que la place la plus sécurisée du moment pour y faire sa vie ? Fiore, c'est un endroit cool. Enfin, il aurait pu l'être d'autant plus si la plupart des habitants n'étaient pas des paranoïas à penser que les démons pouvaient attaquer d'une minute à l'autre. Et d'un côté, ils n'ont pas tort. On ne sait pas ce que cette armée prépare, et peut-être bien qu'on y passera tous. 

En dehors de tout ça, j'imagine que mon éducation était plutôt classique pour un enfant vivant dans un monde au déclin. D'après mes parents, je devais me sociabiliser. Le souci, c'est que je n'aimais pas sortir et voir du monde. On partait mal. La cerise sur le gâteau, c'est que j'étais un gamin relativement haï. Les autres enfants n'avaient pas tous la chance de pouvoir apprendre la magie avec un maître d'apprentissage. D'aussi loin que je me souvienne, ma famille n'a jamais eu de soucis financiers, et payer un maître pour m'enseigner les rudiments magiques, c'était un "investissement ridicule". Et pourtant, même si je devais me sentir honoré, quelque chose n'allait pas. Je n'aimais pas la magie. Ce n'était pas une peur de se battre ou un quelconque rejet de responsabilités, mais je détestais cette impression d'être destiné à devenir quelqu'un sur qui le peuple pouvait compter. J'aurais pu mal tourner, devenir un mage enfermé dans une idéologie particulière, persuadé que sa façon de penser est absolument incontestable. Quelle ironie. 

Mais tout ça ne serait rien sans but. Apprendre la magie, c'est sympa, et même si j'étais réticent au début, il faut bien prendre sur soi et accepter ce que le destin nous propose, aussi chiant soit-il. Et donc, ce fameux but. Bah en vérité, je n'en avais pas vraiment. Même en cherchant, rien de ne me venait à l'esprit. Se battre pour une cause juste ? Genre la justice ? Ce n'était pas mon truc. J'étais trop jeune et trop insouciant pour y penser. La seule chose que je savais faire à cet âge-là, c'était me questionner sur le sens de ma propre vie. Ouais, maintenant que j'y pense, j'étais un garçon bizarre. 

Et là, c'était le déclic. J'avais un but ! Trouver un but. Ce n'était pas original, mais j'étais un mec banal, donc bon. On se disait que ça suffisait, et que le temps voulu, on trouvera réellement quoi faire de notre vie. Même si vu comme ça, on dirait un garnement inintéressant, j'étais relativement têtu et bagarreur. Disons juste que les gens autour de moi se trouvaient être tellement fades à mes yeux, que les tabasser, bah, c'était un moyen de leur faire comprendre qu'il y avait autre chose à faire de sa vie que de paniquer sur le même sujet polémique depuis les lustres. La vie n'est pas comme ça, ou du moins, ce n'est comme ça que je l'interprète. Brandissant mes faibles poings contre la paranoïa collective, le super mage en apprentissage Ikisho se dressa contre les vils cerveaux lobotomisés de ses camarades. 

Et un beau jour, j'ai frappé un gars qui n'avait rien demandé, comme d'habitude.


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"Tiens, tu pleures ? Tu ne seras pas le premier, tu sais."

"Pourquoi tu fais ça ? À être aussi violent, les démons auront ta peau !"

"REPETE UN PEU ?!"


Et ce beau jour-là, il s'est enfui après m'avoir gracieusement mis encore plus en colère que d'habitude. J'avais 16 ans, et je marchais rapidement sur les 17. Je me croyais déjà moins invincible qu'avant. Et les coups que je donnais étaient dorénavant rendus, avec intérêts sur la joue gauche. Je ne sais pas pourquoi, ils adorent jouer avec les joues, les gosses. Mes parents m'avaient demandé de m'excuser pleinement auprès du gamin en question. Mais pourquoi ç'aurait été à moi de faire ça ? J'ai rendu service, d'un côté. Ce n'est pas en restant dans ses idées noires qu'il allait se bouger le cul ! En plus, ce n'est pas le premier que je tabasse, pourquoi lui ?! C'est sûrement ce qui a traversé mon esprit au moment où les géniteurs m'apprenaient le sens des responsabilités et de la politesse. Une 74e fois ce mois-ci. Un record personnel.

Et c'est en rencontrant ledit gamin en rue que j'ai compris que ce n'était pas ledit, mais ladite. Bon, sur le coup, je me sentais relativement mal. Frapper une femme, ce n'est pas dans mes habitudes. Tu me diras, il y a une première fois à tout ! Ouais, je fais dans l'humour aussi, c'est un de mes nombreux talents cachés.
Ni une ni deux que la gosse me rétorqua un petit :

"T'es sacrément bête"

"Oh, t'as pas trouvé mieux comme insulte ? Attends, j'essaie de pleurer."

Au début, elle et moi, c'était l'amour vache. D'un côté, la jeune fille légèrement endoctrinée par l'idéologie de son entourage, et de l'autre, un imbécile incapable de réfléchir cinq secondes à la situation qui se présente à lui. Au fil des années, je me demande si ce n'était pas le destin qui avait décidé de nous faire une blague.
Quoi qu'il en soit, au final, on s'aimait bien. Une relation sur du long terme, faut se le dire. Au début, on n'arrivait pas à se parler plus de cinq minutes avant de se bagarrer. Faut dire qu'à l'époque, elle cachait bien son jeu. Une vraie bagarreuse dans l'âme. Elle était forte. Très forte. Malheureusement, il y avait ce souci des parents, moyennement heureux de se dire qu'à tout moment, on pourrait entrer en guerre totale avec les démons. Quand j'y réfléchis, cette façon de penser permet surtout de survivre. A force d'être entêté comme le jeune homme fougueux que j'étais, on finit toujours mal. Ou mort.

Du coup, quoi de mieux que les meilleures auberges du coin pour oublier ses soucis ? On y a découvert une passion commune : la boisson. Pratiquement tous les soirs, on avait pour tradition d'aller boire un coup, une journée de plus sans attaque. La mentalité que je haïssais était devenu le prétexte idéal pour aller faire la fête. Enfin, des petites fêtes, on n'était pas assez riche pour boire toute la nuit.
Mais qu'importent tous ces bons moments avec elle, quelque chose clochait. Elle m'en parlait souvent, de cette guilde. Destiny Flare. La justice elle-même d'après ses dires. Et elle n'avait qu'une idée en tête, la rejoindre. Seule ? Sûrement pas. Ce n'est pas comme si je m'en cachais, mais l'amour a eu raison de moi. Et aussi d'elle, visiblement.


C'était magique comme époque. On avait 19 ans, et on se croyait à nouveau invincible. La différence avec avant, c'est que les anecdotes se décuplaient et que les projets se mettaient en route. On voulait partir. Connaître le véritable monde, celui qui ne tient que par l'espoir de certains. Et l'espoir, c'est un carburant important de nos jours. 

Avouer à nos parents que l'on quittait le bercail ? Pourquoi pas. Après tout, les siens ne juraient que par la tristesse, et les miens sont inintéressants au possible, vieux et d'une richesse relativement sympathique. Une perte de temps, voilà ce que c'était. On est partis, sans jamais donner de nouvelles. Nous rechercher ? Quelle connerie, ils voulaient me transformer en pseudo-soldat mage, et elle... C'était plus compliqué. "Trainer avec un gosse immature tard le soir et boire avec ? Tu n'es pas notre fille, quitte cet endroit". Ça devait à peu près ressembler à ça.

Au final, on était plutôt bien préparé, mais sans argent. Heureusement, ce monde abrite tellement d'endroits où s'en faire. Aider les citoyens, ou se battre dans des lieux malfamés, tout était bon pour survivre dans un milieu aussi hostile que le nôtre. On avait notre quota de "missions" pour la journée, et au début, ça se passait bien. Je me battais, et elle aussi d'ailleurs. Des malades, on en a vu plus d'un. Et plus le temps passait, plus elle devenait violente. La justice, encore et toujours. Pourtant, on ne combattait pas que des fous. Parfois, ces gens étaient comme nous, cherchant juste à se frayer un chemin dans ce foutoir infernal. Et la défaite, c'est quelque chose que l'on se doit de connaître. On a perdu une fois, voire deux, voire trois. Mais elle n'abandonnait pas son idée. C'était du fanatisme à ce niveau-là, et je n'avais plus aucun contrôle sur elle.

Destiny Flare, c'était son but. Pour moi, c'était une bande de justiciers qui faisaient leur boulot en embarquant avec eux cette idée de "fanatique de la justice". La distance commençait à se faire sentir, et au final, plus rien. Aucun sentiment ne se faisait ressentir entre nous. Une séparation en douceur, inavouée par nous-même. Je ne l'aimais plus.

C'est le pas lourd qu'on s'est croisés pour la dernière fois. Un combat amical, qu'elle disait. Je n'étais donc que ça à ses yeux ? Un test ? Une sorte d'entraînement qui lui permettrait d'enfin être digne de Destiny Flare ? Qu'est-ce qu'on en savait, au final ? Cette guilde, aucun de nous deux ne la connaissait, et les membres étaient de parfaits fantômes à nos yeux. On ne pouvait rien juger, rien prouver. Si ça se trouve, toute cette histoire n'était qu'une vaste mascarade. On se battait juste pour vivre, frissonner, se forger. Pas pour devenir justiciers.
Quand est-ce qu'elle a autant changé ? Même moi, je ne pourrais pas le dire. Je ne me souviens même plus de la dernière dont on a parlé d'un avenir à deux. En fait, c'était ça.

Une vaste mascarade.

Elle fonçait sur moi, enchaînant les coups plus rapidement les uns que les autres. Et moi, je ne pouvais pas la toucher. Et l'esquiver devenait fastidieux et difficile. Elle m'a touché, une fois, deux fois. Un coup dans le ventre, et l'autre ciblant mon faciès de blondin. Et je n'esquivais plus. L'homme était au tapis, et la femme sur le point d'être déclarée championne des coups bas.


Je n'arrêtais pas d'y penser. Elle était forte dans tous les domaines, sauf la magie et le mental. Influençable comme pas deux. J'aurais dû m'en douter. Ce voyage entier l'avait influencée, transformant la bagarreuse en bête sauvage, et le bagarreur en penseur. On avait bien évolué, en fin de compte.
Je me relevais, et commençait a bloquer ses coups. Enfin une action propre dans cette histoire. Toujours incapable de la frapper, la pire idée du monde m'est venue. La diplomatie. Je lui ai crié d'une délicatesse sans nom :

"Ça rime à rien ! Tu veux me tuer ou quoi ?!"

Celle-ci m'a répondu sur le ton le plus sérieux du monde :

"Si je veux aller à Destiny Flare, mes attaches doivent disparaître, Iki'"

C'était donc ça. Une simple règle d'attache, de lien. Et le mien était encombrant visiblement. Je n'ai pas eu le temps d'y penser, ses mains ont agrippé mon cou, et que mort s'en suive. Enfin, c'est le scénario qu'elle s'imaginait sûrement, mais j'ai ce qu'on appelle un instinct de survie. Et si elle voulait vraiment ne plus avoir d'attache, alors ainsi soit-il.

Neutralisé en une seconde, sur le coup, ce n'était pas puissant, c'était surprenant. Je ne l'avais pas utilisé depuis un moment, cette magie. La gravité a ses qualités, mais la neutraliser de cette manière n'était qu'une perte de temps. Elle était plus forte que ça, et se relever ne lui prendrait pas énormément de temps. Alors c'était à mon tour. Mes mains froides autour de son joli cou. Sur le moment, j'en pleurais, et la nécessité d'en arriver là m'accablait au plus au moins.

Je ne ressentais plus rien pour elle, et pourtant, je me disais qu'on pouvait trouver un arrangement, que la rejoindre, ça n'aurait pas été si monstrueux. Ses ongles agrippaient mon visage, mes bras, mes mains. Rien n'y a fait, je l'ai eu. La bête sauvage a quitté le bercail, et pour toujours.
Elle avait cette croix sur elle, en permanence. Un joli cadeau d'adieu qui me permettrait de toujours avoir un souvenir d'elle. Dommage que ça soit celui-ci qui revienne en permanence.

La plus longue nuit de ma vie, et rien qui nous avait empêché d'en arriver là. Les larmes ne voulaient pas se stopper, mais la décision était claire. Si elle voulait absolument aller à cette guilde. Alors, j'irais à sa place. Si se sont effectivement des justiciers fanatiques, alors au fur et à mesure, j'en deviendrai un. Mais j'ai mes raisons maintenant, et moi qui cherchais un but, me voilà comblé. 


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"Un combat amical ?"

"Je me méfie, mais pourquoi pas"


Un an plus tard, et voilà qu'on me proposait déjà un match d'échauffement le jour de l'intégration à la guilde. De retour au centre de Fiore, il me fallait bien un peu d'action pour commencer la journée.
Et j'ai perdu. C'était une femme, et vous savez, je ne fais pas que les étrangler, je suis galant parfois, je les laisse gagner. Du nom d'Ewilan, je dois bien avouer que son Kansô est redoutable. Mais moins que mes talents d'alcoolo. J'ai gagné au duel de beuverie, et ça, c'est quand même un minimum.

Au final, même aujourd'hui, je n'arrive pas à savoir si se sont des fous, ou des mages d'une réelle sympathie. Je passe ma vie dans les auberges, et la plupart du temps, j'accepte les missions qu'on me donne sans trop de soucis. Doué en bagarre, et avec une magie comme celle-ci, j'étais une sorte d'atout pour la guilde.
Du peu que j'en ai rencontré, ils avaient l'air pas méchant, mais aussi craintifs que n'importe qui. Enfin, ils avaient une raison. Destiny Flare prend le risque d'être au front lors des combats acharnés, et ce n'est pas pour me déplaire.

En fait, je m'y plais bien. Et ça confirme une chose, elle n'aurait jamais pu tenir ici. Son fanatisme était bien au-dessus de tout, et la guilde ne l'aurait peut-être pas gardée. Enfin, pour ce que j'en sais, mon avis est loin d'être le plus construit de tous.
C'est triste, maintenant que j'y repense, je n'arrive même plus à me souvenir de son nom. Même son odeur ne m'est plus familière depuis un bon moment.
Et aujourd'hui :

"J'en ai presque oublié le mien"

"Hoy, Ikishô. Encore à brailler des phrases incompréhensibles. L'alcool te monte à la tête, heureusement que tu fais mon commerce. Je t'en ressers une ?"

"Volontiers tavernier ! Aujourd'hui, il semble que je sois nostalgique !"

...

"Et visiblement un homme qui se remémore de vieux souvenirs douloureux."
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Sirael AshtareosThe Golden King
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MessageSujet: Re: Ikisho Kaerû [100%] Ikisho Kaerû [100%] EmptyJeu 17 Mar - 22:59

ET BIEN.

Pour toi, pas d’introduction. :sensé: J’pense qu’on a perdu assez de temps, si tu vois c’que j’veux dire. :hap:

Go pour l’éval directement.  


Sur le fond :

Magie : ET BIENG, c’est un bon c/c une bonne description bien complète. Modifie ces deux p’tits trucs et ce sera bong.

Ah, juste :
- Une surface générant un champ de gravité, ça fait pas un mur, ça fait une tapette à mouche. :v Et le cuir, ça fond. A modifier.
- « Il n'est jamais impossible de se relever d'une pression gravitationnelle » ← Ca dépeng, hein. :v Ca dépend du rang du sort, de la cible, toussa, toussa.  A modifier.

Physique : Bon, alors, cette fameuse description physique. ET BIEN. Elle m’a l’air bien bien nulle, dis-moi. :hap:

- Faut chiffrey la taille. Parce que bon : « Machin était grand. Machine aussi. » Qui est le plus grand sans valeur chiffrée ? A ajouter.

- Quelle couleur le tatouage de guilde ? :v A préciser.

- « une croix, dont je n'ai jamais compris la réelle signification. Comme mes sourcils d'ailleurs. » ← J’ery

Bah écoute, tes 15 ans passés à te branler t’ont bien servi, c’est une très bonne description physique, racontée sur un ton bien drôle en plus. Je siralide.

Psychologie : ET BIENG. Globalement c’est bien, heing.  

- Nostalgie ? De quoi exactement ? Tu l’évoques plusieurs fois mais t’es toujours vagues, on sait pas à quoi ça fait réellement référence. Ca serait bien que tu parles clairement de l’événement clé de ta prez (sans forcément t’étaler sur 50 lignes). Ca forge un peu la psyché de ton perso, quoi.  A préciser.

- « Ikisho Kaerû a une opinion intéressante sur les sujets abordés dans la vie de tous les jours. C'est un homme intéressant, au fond. » ← Mouais, ça se trouve il va être chiant à mourir pour les autres. Evite ce genre de jugement.

Manque encore quelques trucs. Motivations et objectifs, surtout (et si t’en as pas, précise-le). C’est ce qui manque à ta description psychologique. ‘pis aussi des goûts simples, tieng.  Aussi, j’aurais aimé plus de détails sur les autres guildes. Que le perso soit un peu plus ancré dans le contexte.
M’enfing, c’est cool, sérieux.

Histoire : ET BIENG. J’ai rien à dire sur le fond, mis à part que je trouve ça abusé qu’Iki se souvienne plus du nom de la meuf, là. C’est l’événement traumatisant de sa vie. Là, ça donne clairement l’impression que t’avais la flemme de chercher un nom. Branleur assumé, va. Baltringue à clenche.
Bon euh et puis… J’aurais bien trouvé un truc pour te trashtalk, mais j’crois pas avoir vu de truc significatif. :depressed:


Sur la forme :


ET BIENG. Bah, ça va. C’est pas trop moche. Par contre, y a beaucoup de trucs parce que je crois avoir tout cité ou presque. :sensé:

Conjugiason :

- « Je resterai bien » ← resterais
- « il s'est enfuit » ← enfui*
- « Mes parents m'avaient demandé de m'excuser pleinement auprès du gamin en question. Mais porquoi se serait à moi de faire ça ? » ← ç’aurait été* Btw, tu vas me rajouter un "u" à ce "porquoi" sinon j'appelle mon pote Donald Trump, N'EST-CE PAS ? :jmlp:
- « On est partit » ← partis*
- « C'est le pas lourd qu'on s'est croisée » ← croisés*
- « Ce voyage entier l'avait influencé, transformant la bagarreuse en bête sauvage » ← influencée* accord du participe passé avec l’auxiliaire avoir ‘-‘/
- « je les laisses » ← laisse*
- Dans l’épilogue, ça part en couille niveau concordance. Faut choisir entre passé et présent, heing. Tu peux pas me mettre un plus-que-parfait en plein milieu, là, comme ça. Ca fait un putaing de parpaing dans la soupe.
- Accorde « on » en nombre quand il n’est pas là pour désigner « les gens en général ».

Ponctu’ :

- Attention aux virgules avant le « et » et le « ou ». C’est moche, très moche… Voire carrément incorrect.
- « Une 74e fois, ce mois-ci, un record personnel. » ← « Une 74e fois ce mois-ci. Un record personnel… »
- « Je me croyais déjà moins invincible qu'avant, et les coups que je donnais étaient dorénavant rendus, avec intérêts sur la joue gauche. » ← « Je me croyais déjà moins invincible qu'avant. Et les coups que je donnais étaient dorénavant rendus, avec intérêts, sur la joue gauche. »

Divers/Inattention :

- « mon levé de coude » ← lever* Et mon lancéééééé de rocher dans ta gueule, alors ? :jmlp:
- « le gars énervé, le gars désireux, où le beau mystérieux ? » ← ou*
- « Ne se ventant pour de pouvoir y apporter toutes les réponses, il peut au moins se glorifier d'essayer d'en rapporter pendant de longues heures » ← Wtf, jépakonpri (et vantant* btw)
- « Il se méfie, mais ne créer aucun pré-jugé » ← crée* préjugé*
- « Il va s'en dire » ← sans* ._.
- « Et bien » ← EH* bordeldemerde, arrêtez çaaaaaa, j’en ai marre de croiser cette faute partout. C’est une onomatopée. ONOMATOPEY. iofzeoifnzuighznrgiughnreiugerngeriugheni
- « connaitre » ← connaître* #JeSuisCirconflexe
- « Les guildes, les puissances de Fiore, tous laisse a penser que cette société et bien plus complexe que ça. » ← tout* à* est* Clapclap.
- « affronter un adversaire plus fort que lui prête a frissonner d'excitation » ← à*
- « Lui rappelant les brides croustillantes » ← bribes*
- « la plupart des habitants n'étaient pas des paranoïas » ← Ah, ouais, donc les gens sont leurs maladies. Et comment on fait s’ils ont des hémorroïdes ? :nomad: S’ils ont de l’herpès ? :nomad: « Les habitants n’étaient que des blue waffles… »
- « Et c'est en rencontrant le dit gamin en rue que j'ai compris que ce n'était pas le dit, mais la dite. » ← ledit* ledit* ladite* COMBOOOOOO ! Et bien... (… :nomad: )
- « incapable de réfléchir 5 secondes » ← En lettres
- « se dire qu'à tous moment » ← tout*
- « Quand j'y pense, cette façon de penser » ← Et bien. Quel penseur. :freud:
- « Des malades, on a vu plus d'un. » ← manque le « en »*
- « On a perdu une fois, voir deux, voir trois. » ← Et bien… voirEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEE bordel de merde. Tu vas VOIR si je vais pas te maraver la gueule une fois, VOIRE deux, VOIRE trois.
- « Qu'est-ce qu'on en savait, au final. » ← point d’interrogationg, c’est la base d’une questiong
- « Rien n'y fait, je l'ai eu. » ←n’y a fait*
- «  ils avaient l'air pas méchant, mais aussi craintif » ← craintifs


Bilan :

ET BIENG. Une prez qui aura mis du temps à arriver, mais qui est, ma foi, bien cool. J’attends que tu modifies quelques trucs avant de te donner ton EP et ton rangue.

PS : Pour les fouineurs qui lisent les évals, je passe une annonce pour notre ami Iki qui est seul (et chaud) : c’est ici.
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MessageSujet: Re: Ikisho Kaerû [100%] Ikisho Kaerû [100%] EmptyVen 18 Mar - 2:07

Yop, merci pour la correction rapide ! :nomad:

Du coup, les modifications  :mout:

Pour la surface générant un champ de gravité :

"[...] ou encore créer une surface de gravitation n'importe où dans l'espace permettant de stopper, bloquer ou encore ralentir ses adversaires, c'est l'atout du mage."


Au niveau du physique, j'ai chiffré le bordel :

"Une base solide me faisant gagner 2-3 centimètres sur mes 1m80. "

Et j'ai donné une couleur au tatouage : "il se tient fièrement sur ma cuisse gauche dans son rouge habituel."

Pour la psycho', rajout d'un micro-paragraphe pour ajouter de la profondeur à la nostalgie du mage o/ :

"La nostalgie, c'est quelque chose qu'Iki' côtoie chaque jour. Particulièrement lors ce sombre événement, reflétant toute l'impartialité dont il a fait preuve pour détruire ce qu'il aimait à l'époque, juste pour survivre. Tuer la seule chose qui comptait pour lui, c'est une douleur qui lui sert de leçon. Une "note"
à lui-même, lui rappelant que la confiance est une notion vague de sens dans ce monde, et qui n'en a plus aucun pour lui."
« Ikisho Kaerû a une opinion intéressante sur les sujets abordés dans la vie de tous les jours. C'est un homme intéressant, au fond. » Modifié en -> "Ikisho Kaerû tente d'avoir une opinion intéressante sur les sujets qu'ils pensent maîtriser avec un peu de souplesse et de langage."

Rajout du désir et de la motivation d'Iki'  :freud: :

"En dehors de ça, sa seule réelle motivation est de devenir influant. Non pas pour que ses réflexions se fassent entendre sur la majorité du continent, mais par simple curiosité. C'est au final la seule chose qui le motive à prendre des risques : être curieux. Il veut savoir pourquoi tel ou tel personne pense comme ça, pourquoi certains chemins sont empruntés, pourquoi certains actes sont effectués. Il veut comprendre la personnalité de chaque individu qu'il considère comme intéressant."

Et son rapport avec les autres guildes  :nomad: :

"En dehors de sa guilde, Iki' ne s'intéresse pratiquement pas à la vie des autres. Trouvant ça fatiguant et ennuyant de schématiser l'ensemble des guildes dans une bulle "gentil mais pas trop" et "méchant mais pas trop", il préfère catégoriser les membres plutôt que la fondation."

Pour le reste, j'ai corrigé la majorité des fautes mentionnées o/ Il en reste peut-être une ou deux sur de l'inattention '^'

Voili voilou.
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MessageSujet: Re: Ikisho Kaerû [100%] Ikisho Kaerû [100%] EmptyVen 18 Mar - 19:21

Et bieng. :hap:

Farpait, validé en tant que Paladin de Destiny Flare au rang B avec 2 600 EP !

Maintenant, go faire ta FT, jeune homme. :jmlp:


Btw, y a une faute dans ton surnom, c'est "UnknowN".
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